Ulmus americana (l'orme en question) atteint par Ophiostoma ulmi amené par Scolytus multistriatus*.
Ah! Les belles couleurs de l'automne canayen!
Surtout cette belle couleur horrange qui décore l'écorce d'un horme à abattre...
De deux ou trois ou quatre hormes à abattre. Dans l'alignement d'arbres sur le boulevard Pie IX, le long du Jardin Botanique à Montréal.
En cercle au pied d'un absent.
Sur la rue Rachel, voyez ce groupe de jeunes hormes, photographié il y a deux ans. Ce sont en fait des repousses d'un grand horme abattu il y a quelques années. Ça n'a pas fait long feu...
...vu d'un autre angle je les ai photographié hier. Ces maigres tiges défeuillées ne sont plus que l'ombre de l'arbre tué (pas encore totalement...) par la maladie honteuse de l'orme hollandais. C'est une troisième regénération feuillée qui se trouve maintenant à la base.
Peine perdue... c'est une autre ombre d'horme en production.
*Trouvez les détails de l'histoire ici (si vous ne les connaissez pas déjà...):
Salut Roger,
RépondreEffacerConnais-tu cette solution pour aider les ormes à repousser les scolytes?
http://montoit.cyberpresse.ca/cour-et-jardin/200506/08/01-866846-le-sureau-appele-a-la-rescousse-de-l039orme.php
Hum... Non je ne connaissais pas cette technique. Après une bonne heure de recherche sur la question pas de pistes solides... Ça me semble un ramassis d'idées éparses : on fait avec le yèble (Sambucus ebulus, un sureau européen) et le sureau noir un pureau répulsif à insectes et on y prête des propriétés antifongiques. Si l'on pouvait "simplement" utiliser nos espèces indigènes de sureaux en les plantant et protéger les millions d'ormes en Amérique, la recette serait mieux connue... Je tâcherai de rechercher plus longtemps la question. Par ailleurs la forme des sureaux est souvent évasée comme un orme en miniature... c'est assez joli. Ça fait aussi "doctrine des signatures"!
RépondreEffacerMerci pour la piste.