samedi 26 mai 2018

Aux ormes!


Rendez-vous à 14h00! Malgré une probable (faible) pluie...



Samedi dernier (voyez ici) je vous invitais à une visite du parc Jeanne-Mance et des environs à la découverte de l'orme lisse. C'est aujourd'hui et si moi-même je m'y rends malgré la météo un peu mouillasseuse... vous qui êtes courageux viendrez sûrement au rendez-vous!

Il y a donc risque de pluie (légère) mais j'y serai en espérant ne pas m'y trouver seul... venez et évitez mon embarras!





Vous aurez une connaissance de base de l'orme lisse et vous découvrirez de plus les quelques spécimens naturalisés! Ceux-ci sont dans un état pitoyable mais nous verrons aussi un spécimen en pleine forme...



Nous verrons aussi cet orme en mauvaise forme (à dire au minimum...) ci-haut: est-ce l'orme d'Amérique ou l'orme lisse? 




Après un tour du parc nous prendrons tout de même le temps de traverser l'Avenue du Parc et d'aller voir les spécimens du Mont Royal. Mais pas avant d'avoir fait la rencontre d'une autre espèce d'orme non-documentée et présentée comme "orme d'Amérique" dans les inventaires.

Non, ce n'est pas l'orme d'Amérique...



À juger les feuilles à la base nettement asymétrique de ces feuilles je suis tenté de dire que l'orme lisse est aussi naturalisé sur le mont Royal!




Détail de la carte du parc Jeanne-Mance, tirée de mon livre Stabat Arbor. Dans le coin inférieur droit "Ici" veut dire "Là"! 

C'est le point de rencontre. Coin avenue du Mont-Royal et Esplanade. À 2 heure de l'aprem, 14h00!

Don't leave me alone...






mercredi 23 mai 2018

Les ormes lisses (Ulmus laevis) du mont Royal



Les ormes lisses (Ulmus laevis) du mont Royal (c.1985-2015)


En fouillassant dans mes archives photos (non-numériques: diapos, négatifs N&B, négatifs couleurs, épreuves, etc.) je suis tombé sur la photo de 1984 ou 1985 présentée à gauche dans le montage ci-haut. J'avais donc photographié (sans le savoir...) les ormes lisses que Charles L'Heureux a trouvé il y a quelques années dans le parc Mont-Royal. À droite une photo des mêmes individus en 2015.

Les arbres ont grandi mais pas tant que ça en trente ans! L'orme lisse a bien une croissance plus lente que l'orme d'Amérique. À votre avis quel âge ont-ils donc? On peut croire qu'ils ont le même âge que ceux du parc Jeanne-Mance, tout juste en face, de l'autre côté de l'avenue du Parc.


Je crois avoir déjà montré cette photo: regardez-moi ces courtes branches (des croissances épicormiques) au feuillage faisant un manchon vert aux branches... 



Cette photo montre un des nombreux ormes lisses du parc Jeanne-Mance.


Cette photo montre un autre orme au parc Jeanne-Mance. Prise à quelques minutes de la précédente vous remarquez facilement que le feuillage n'est pas aussi développé? Comment expliquer cette différence phénologique? Ce n'est pas l'orme lisse... venez découvrir de quoi il s'agit!


Et voici un rappel du rendez-vous de samedi* à 14h00: détails ici.



*pour éventuelle cause météo défavorable (neige, ouragan, etc.) je devrai confirmer la veille ici, sur Twitter ou le Facebook Flora Urbana . Vous êtes prévenus!





mardi 22 mai 2018

Rapport arboricole: les chênes




J'ai fait une tournée des chênes qui fleurissent ces temps-ci. Ci-haut: le chêne des marais (Quercus palustris, pin oak).



Voici le chêne rouge (Quercus rubra, red oak).



Le chêne à gros fruit (Quercus macrocarpa, burr oak). 



Sur le pétiole de nombreuses feuilles d'un chêne à gros fruit sauvageon j'ai trouvé ces galles de Andricus quercuspetiolicola, une guêpes à galles (Cynipidae). Sur le pétiole et pas ailleurs! Une spécialisation extrême.



Une planche faite il y a quelques années: le chêne à gros fruit.



Un rare chêne bicolore (Quercus bicolor, swamp white oak). Sur un trottoir en ville il semble pourtant bien se débrouiller... je dis pas sur un boulevard chaud et bruyant mais une rue de quartier plus tranquille de voitures... On ne le plante néanmoins pas assez souvent mais il ne manque quand même pas de rues plus ou moins tranquilles, ou de parcs! 




Et en terminant: le chêne pédonculé (Quercus robur, European oak). Cette espèce européenne communément plantée ne présentait aucune inflorescence cette année. Je sais que les arbres connaissent de bonnes ou moins bonnes années de fruits mais des années sans floraison? L'arbre avait un feuillage dense, bien développé, beaucoup plus hâtivement que les autres espèces indigènes de la région (au sens large: le chêne des marais provient d'un peu plus au sud...).

Maintenant: qui peut me donner une vrai, solide, raison pour laquelle on ne plante pas le chêne blanc? Je veux dire: même dans les parcs? Avec, vous savez, un effort approprié? On en fait pour des balançoires musicales et autres patentes tout aussi intéressantes...

Non pas de chêne blanc dans les environs. J'habite pourtant entre deux grands parcs: La Fontaine et Jeanne-Mance... Je devrai donc prendre l'avion et aller jusqu'à Westmount pour le photographier. Je préférerais vraiment le trouver à quelques coins de rues, comme toutes les autres espèces réunies ici... 

...moi aussi j'ai une spécialisation extrême!






dimanche 20 mai 2018

Rapports arboricoles




Deux photos du saule hybride Salix x meyeriana en belle floraison. 



L'arbre a de curieuses inflorescences mâles (staminées) bifides. Certaines étaient même trifides. Phénomène qui m'était inconnu. Photos et infos par Claude Tremblay.



Sur un trottoir, un beau jeune tilleul avec ce feuillage vert à croquer!



Un frêne en pleine floraison. Le spectacle est plutôt discret mais l'arbre est en santé!



Enfin voici un gainier du Canada (Cercis canadensis) à la floraison des plus sucrées!  



Vous aimez de simples photos d'arbres? N'oubliez pas de télécharger mon livre Opéra Canopée? Cliquez sur votre option:


Un lien pour télécharger le livre gratuit: Opéra Canopée (iBooks)

Ou pour ceux qui n'ont pas d'appareils Apple voici une copie PDF



Bon dimanche ensoleillé!





samedi 19 mai 2018

L'orme lisse (Ulmus laevis): un rendez-vous



Photo (modifiée): Archive de la Ville de Montréal, 1954.

  1. orme lisse du Parc La Fontaine
  2. orme d'Amérique
  3. deux peupliers de Lombardie 

Le tronc incliné de cet unique orme lisse du Parc La Fontaine le rend facilement reconnaissable sur cette photo de 1954. Il a été planté vers 1912-1915. Il n'a que peu grandi depuis! L'orme d'Amérique, lui, semble avoir été planté plus récemment mais sa croissance plus rapide fait qu'aujourd'hui il est nettement plus grand que le premier.

J'ai d'ailleurs photographié les peupliers de Lombardie en 1986, faudrait que je fouille mes planches contacts de l'époque argentique. Une autre fois, d'accord?


Photo (modifiée): Archive de la Ville de Montréal, 1949. Roger Latour: orme lisse en 2013.

Le point rouge et blanc situe notre spécimen. Les points rouges indiquent quelques ormes d'Amérique des alentours. Je parle de l'orme lisse (ici et ailleurs à Montréal) depuis 6 ans maintenant... et des gens qui devraient pourtant s'y connaître doutent encore de sa présence. Étonnant!


Dans mon livre vous apprendrez que l'orme lisse est naturalisé... le voici ci-haut.


Douterons-ils aussi qu'il soit naturalisé? Vous le voyez ci-haut, tel que photographié hier. Les samares seront mûres la semaine prochaine. Encore plus étonnant: puisqu'ils s'intéressent aux arbres, comment ont-ils fait pour ne pas croiser le blog Flora Urbana en fouillassant sur les internets? Il n'y a rien à apprendre sur le blog d'un amateur? 

Certains doutent mais n'ont pas le temps de se déplacer ou d'acheter et de lire un livre à 12 piasses...

Alors connaisseurs, voici, en version gratos:


https://floraurbana.blogspot.ca/2012/10/encore-au-parc-lafontaine.html

https://floraurbana.blogspot.ca/2013/05/pteleologie-ulmus-laevis-montreal.html

https://floraurbana.blogspot.ca/2013/05/lorme-lisse-au-parc-jeanne-mance.html

https://floraurbana.blogspot.ca/2015/05/orme-lisse-ulmus-laevis.html

https://floraurbana.blogspot.ca/2018/05/lorme-lisse-dans-nos-parcs.html


Pour tous les détails... allongez un gros 12$, je carbure au fric si vous ne l'aviez remarqué: cliquez ici pour aller chez Monsieur iTunes

Si vous n'avez pas de iPad, iPhone, iMac ou Mac: demandez à un ami plus fortuné que vous qui est sur Apple. Vous avez aussi l'option de sortir prendre l'air et cherchez ces arbres...  Vous vous sentirez grandi...



Encore mieux, plus facile: que dites-vous de se rencontrer samedi prochain (le 26 mai) à 14h00? Vous pourrez voir (et même toucher) ces spécimens centenaires? Vous pourrez par la même occasion me serrer la main... gratos!

L'invitation est évidemment aussi lancée à tous ceux qui désirent tout simplement voir de proche ces arbres intéressants qui ont survécu à la graphiose et vécu 100 ans... un patrimoine arboricole à découvrir!

J'oubliais: vous découvrirez aussi une autre espèce d'orme dont la présence n'est pas documentée... un deux pour un! Ce qu'on ferait pas pour vous intéresser...


Voici le point de rencontre au Parc Jeanne-Mance (coin Esplanade et Mont-Royal)*: 




Alors qu'en dites-vous? Vous serez au rendez-vous** ptéléologique?



* (non, je sais pas ce qu'est ce truc Prov 1 sur la carte Google...)
** pour cause météo défavorable (neige, ouragan, etc.) je devrai confirmer la veille ici, sur Twitter ou le Facebook Flora Urbana . Vous êtes prévenus!





jeudi 17 mai 2018

Les carolins du Parc La Fontaine en 1955

Requiem (tiré de mon plus récent livre Stabat Arbor 1)


Les photos (modifiées) d'époque proviennent des Archives de la Ville de Montréal.

"Je reviens en terminant sur ce qui est le plus bel ensemble d’arbres patrimoniaux à Montréal: l’alignement de peupliers de Caroline au Parc La Fontaine. Ce monument historique vivant est dans le pire des mauvais états.
Il s’agit ici aussi d’arbres centenaires mais comme ils ne sont pas d’essences nobles (comme on dit) personne ne semble leur prêter l’attention que se mériteraient des chênes, des ormes ou des érables à sucre.
La plan de cet aménagement est singulier. Ce n’est pas un ovale ni une ellipse. Quelle en était la fonction? Était-ce tout simplement un circuit d’exercice ou de démonstration militaire? L’histoire du lieu suggère bien cela en effet. Peut-être s’agit-il d’une piste d’hippodrome? La forme oblongue pourrait le laisser croire."


"Formellement il s’agit d’un cartouche (de l'italien cartoccio), un rectangle aux extrémités arrondies. C’est un élément architectural qui remonte à l’Égypte Ancienne. C’est cette forme dans laquelle on inscrit quelque chose: le nom d’un pharaon, l’année de construction d’un édifice, une armoirie, un épitaphe, etc. La forme varie avec les styles architecturaux et les époques mais la fonction demeure: c’est un espace voué à une inscription.
Pourquoi un aménagement de cette forme ici, au début de la guerre 1914-1918? Et pourquoi cet arbre en particulier: un hybride entre le peuplier deltoïde indigène et le peuplier noir. L’hybride qui se fait vite géant avait été découvert en France, tôt au 18e siècle. Planté ici, est-ce emblématique? De quoi?"

"Ainsi entourée, c’était une grande place de rencontre, comme on dit aujourd’hui. Une surface plane, une pelouse libre de toute installation, entourée d’arbres majestueux. Quel simplissime programme! 
Peut-on y voir un espace pour un Requiem? Un lieu de souvenir?"


"L’indifférence d’aujourd’hui, qui ne se souvient de rien, se mêle à l’idée entretenue que ces peupliers mastodontes sont un embarras. Ils gênent. Beaucoup admirent le responsable des parcs des années cinquante et soixante mais je ne partage pas du tout l’enthousiasme pour cette attitude moderniste (table rase!) qui a eu un effet catastrophique pour le Parc La Fontaine. 
Un ensemble paysager unique a été gommé de l’histoire. On ne sait plus que faire de sa carcasse à moitié dévorée. On gère pathétiquement les arbres… C’est une spirale descendante depuis ce temps… et ce n’est pas terminé!"


"Vous avez maintenant un avant-goût de mon prochain livre: Stabat Arbor II. Ce sera au tour du genre Populus, de la famille des Fabacées, sans oublier tulipiers et autres curiosités. 
Tout cela pour vous intéresser à ces drôles d’êtres vivants immobiles qui vivent parmi nous: les arbres."


Quelques Populus x canadensis, peupliers de Caroline, ou Carolins, encore debout et un autre abattu au Parc La Fontaine. Le syndrome amnésique (et tellement festif!) connu sous le nom de Permanent Montreal Chainsaw Massacre...
Vous découvrirez dans ce livre bien d'autres arbres méconnus ou même inconnus, naturalisés, certains centenaires sans tambours ni trompettes ... 



samedi 12 mai 2018

Amélanchier en floraison





Les fleurs de l'amélanchier se sont ouvertes hier. Huit jours de délicate présence.



On aura des fruits bientôt, la tradition voulant qu'une confiture soit alors confectionnée. 





mercredi 9 mai 2018

En passant par le Jardin Notman





Les chicots féviers du Jardin Notman. Ils ont encore l'air de chicots... le débourrement et la feuillaison sont très tardifs chez ces arbres.













Je suis passé par le Jardin Notman dimanche et fait quelques photos rapido. Ce matin, je suis occupé à faire le fichier EPUB (format plus universel mais demandant du casse-tête travail et de l'apprentissage...) de mon livre Stabat Arbor et je n'ai pas le temps d'écrire un billet bien informatif... 

Si tous les gens regrettant que je ne l'avais fait qu'en format iBooks se le procurent en format EPUB, ce sera un vrai succès (ce n'est qu'un demi-succès pour l'instant mais c'est pas trop mal...). J'avais prévu cette fourche (un branche vers iBooks et un autre vers EPUB3) dans la chaîne de production mais je dois remonter un peu plus haut que prévu, un peu plus de travail quoi... mon équipe n'a qu'à se lever plus tôt...

Bon, au sujet de Notman:





Et là je retourne à mes travaux prometteurs... La journée sera magnifique et un rendez-vous m'amènera à l'extérieur, m'extirpant un instant de ma station de travail... c'est pas mauvais!


Bonne journée!


lundi 7 mai 2018

Violettes de trottoir








Une colonie de violettes au coloris peu familier.




dimanche 6 mai 2018

Au Parc La Fontaine




Pause du samedi, je suis allé faire un tour au Parc La Fontaine hier. Vous avez remarqué que vendredi soir avait été une véritable fête d'excès éolien et ça se voit ici... J'ai fait quelques clichés avec ma tablette.



Un coup de vent aura abattu cet érable argenté (Acer saccharinum, silver maple) qui avait bien 100 ans...



Je fais un bien piètre reporter: un vrai aurait deviné l'effet de ces vents forts d'avant-hier soir. Il aurait été sur les lieux tôt le matin sachant que des dommages seraient reportables.


Les samares poilues en début de formation.

Bien des gens avaient leur kodak ou kodakophone, occupés à documenter l'incident, tous des photographes déjà sur place, plus alertes que moi. 

Il y avait de grosses branches cassées ailleurs au parc. Toutes de la même espèce. 


Flèche rouge: Arbre n'importe quoi, planté n'importe où.


J'ai souvent dit que je regrette qu'on ne fasse pas de boutures avec les peupliers carolins centenaires, question de les replanter et de leur donner un autre cent ans de vie. Comme avec les vieilles vignes. Oui, c'est un truc spécial à ces arbres: à tous les cents ans vous pouvez faire une bouture et le nombre de cycles de vies potentiels est indéterminé. 

Le grand aménagement en cartouche pourrait continuer à être un monument (à quoi, ça c'est une autre question...) traversant les siècles.

Mais non! on plante n'importe quoi, n'importe où! Y compris dans l'alignement de peupliers... dont on ne remplace pas les morts au combat. On a d'autres plans... D'ailleurs le parc est un véritable ramassis d'idées toutes meilleures que les précédentes, une accumulation de toutes les mises à jour du goût du jour, des ajouts de trucs et bidules pour de nouvelles fonctions toutes plus hyper-importantes que les précédentes. 

Tout cela n'est jamais terminé, est désarticulé, toujours laissé en plan, l'effort du moment n'étant qu'aussi grand que le budget ad hoc de quatre ans. Pourtant 90% des gens n'ont besoin que de surfaces pour jouer à la pétanque, de bancs pour s'assoir et de pelouses pour pique-niquer. Horreur!

Vous n'avez pas remarqué que les gens inventent leur propres jeux et apportent les articles nécessaires? Je sais c'est choquant de l'apprendre. Le reconnaître, c'est reconnaître qu'il n'y a pas d'aménagements glorieux d'innovation à dezigner... pas de grandes consultations sont nécessaires, pas de grands plans... 

Les gens qui viennent ici sont bien plus créatifs que nos administrations et tous nos professionnels occupés à nous expliquer ce qu'on fait dans un parc. Qu'ils s'occupent des arbres avec science et patience, qu'ils s'occupent de l'espace et de la circulation mais qu'ils laissent le contenu, l'utilisation, aux... utilisateurs... un parc c'est pas un CPE! Ou un Club Med...

On fait de grands plans mais hier les abreuvoirs n'étaient toujours pas en fonction, les étangs encore vides...

On consent des efforts hyper-professionnels, coûteux, pour des terrains de jeux de toutes sortes avec des clôtures Frost au kilomètre. On est bon pour faire des exclos bien planifiés... Mais un travail sérieux sur les aspects paysagers ou sur le patrimoine arboricole? Une approche d'aménagement laissant le libre cours aux activités spontanées?



On peut rêver... c'est ce que je fais...






samedi 5 mai 2018

Affaires courantes et aperçu de Stabat Arbor


Le service de promotion et de mise en marché de Flora Urbana a fait parvenir des coupons permettant de télécharger gratuitement une copie de mon dernier livre (Stabat Arbor vol. 1). Des chroniqueurs, journalistes et blogueurs ont été rejoint, attendons voir s'ils écriront quelques chose... sait-on jamais?

De pareils coupons ont aussi été envoyés à des collaborateurs et amis. Mais voilà: bien de gens ne savent pas comment utiliser ce coupon... Surtout directement sur un tablette iPad. Ça semble plus simple sur un ordi. 

Alors voici un petit supplément d'information: en quelques étapes, atteindre le paradis:





1- Votre application iBooks est ouverte, votre biblio perso est en vue. Ci-haut, la mienne... Emplie de mes maquettes et de livres gratuits disponibles...

2-Touchez sur "Sélection"






3- Rendez-vous dans le bas de cette page 'Sélection" et appuyez sur Code.





4- Une fenêtre apparaît, vous permettant de mettre le code que vous avez reçu.


Le fichier fait environ 320 mo, le téléchargement n’est pas instantané! Mais avec une bonne connexion vous aurez tout le paquet en 15 minutes environ. Le livre compte tout de même 342 pages avec de nombreuses photographies, un clip d'ouverture et quelques animations, quelques cartes pour localiser certains spécimens et des centaines de planches botaniques qui montrent tous les détails permettant de bien identifier les espèces.




Voici quelques saisies d'écran depuis mon iPad, montrant les tables des matières de certains chapitres. Notez que le contenu est plus grand que ce que l'on voit dans la table des matières des érables et des ormes: comme tous les textes du livre ils sont sur une zone défilante. Cela permet de mettre deux pages de textes sur une seule par exemple.
La bande noire dans le bas de l'écran permet de sauter rapidement d'un chapitre à l'autre en touchant un point blanc correspondant.



Les vignettes défilantes des pages permettent elles de passer aisément d'une page à l'autre. Dans ce cas-ci d'une espèce à l'autre.



Une page du chapitre des ormes: toutes samares réunies, à l'échelle, sur une seule planche. Vous avez déjà vu cela pour notre région?





Les cerisiers à grappe (à racème...). Fleurs, fruits et noyaux (sans oublier les feuilles, les rameaux d'hiver et les bourgeons... de toutes les espèces!





Et pour finir le magnifique grand spécimen de l'orme glabre dont je parle (alors qu'il était vivant et debout) dans le livre. Il n'est plus!

Mais il a eu l'occasion de semer des petits dans les environs: l'orme glabre est ainsi en voie de naturalisation. Une des primeurs de mon livre...

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