Quand c'est la belle et chaude saison, allant ou revenant du Champ des Possibles, je passe par la rue Drolet.
Et au coin de Villeneuve je m'empiffre (oui) de griottes (Prunus cerasus). C'est comme ça. J'engloutis des griottes.
Mercredi il faisait chaud, j'étais zaffamé. Et tout de suite, main pleine, bouche ouverte, bloum gloum, tout allait mieux. Miam!
Deux choses, deux changements constitutionnels à apporter immédiatement: de l'eau et des griottes. Plantons des abreuvoirs et des agriottoirs! À tous les... je sais pas moi... 200 mètres?
Nous pourrions alors vraiment nous dire civilisés...
Drôle la rue Drolet... ou ce sont peut-être les Griottes qui rendent drôles. D'accord avec toi pour les changement constitutionnels.
RépondreEffacerDeux électeurs suffisent à transformer la ville. Maintenant au prochain dossier.
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