lundi 25 juin 2012

Micro-frugivorie urbaine






Boulevard Saint-Laurent, près de la rue Sherbrooke, Montréal. Des mûres.





Cet homme connaît les mûres, étrangement les autres nombreux passants ne les connaissaient pas... ou refusent de les manger quand je les y invitent.






L'arbre n'est pas aussi commun ici qu'en Europe ou en Asie ou en Afrique... Mais l'homme l'a connu en Italie.






Lui ne s'est pas fait prier... Tout souriant de rencontrer un autre qui connaissait...






Rendu chez moi j'ai pris les fruits mûrs des mûriers plantés au rez-de-chaussée (où ailleurs...)






 
Puis les trop peu nombreux petits fruits du beau petit amélanchier. Avec crème (si vous en avez) ou du lait, comme j'ai fait. Et un peu de cassonade. Ou pas. Au soleil.


Fin juin presque... mais quel extraordinaire juin on a eu cet année!






4 commentaires:

  1. Bonjour!

    Je suis très surpris par votre post. A Valence (Espagne) il est un arbre trés commun et vous pouvez le trouver dans touts les jardins o ou dans la rue, mais ici nous avons crée une varieté qui n'ai pas des fruits afin de ne pas tacher le sol. Dieu merci, que la nature est sage et finit toujours par laisser une blanche avec des fruits! hehehehehe

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  2. @ Creaciones Verdes : ici (en Amérique) le mûrier blanc n'est pas un arbre indigène. Mais on le plante dans les jardins et les oiseaux disséminent ensuite les graines. J'en ai vu qui poussaient ainsi sauvagement. Plus au Sud (aux États-Unis et en Ontario) on trouve le mûrier rouge qui lui ressemble beaucoup. C'est vrai que le trottoir sous l'arbre est tout noir et pourpre! Comme mes mains (miam!)

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  3. Aussi ne sais pas si vous savez que Ici est très fréquent d'avoir des vers à soie quand nous sommes petit et que nous prenons au printemps des feuilles de mûriers pour les nourrir jusqu´à qu'ils fassent cocons á soie!!

    Est le morus alba une plante envahissante au canada?

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  4. @ Creaciones Verdes : oui je connais le bombyx du mûrier mais je savais pas qu'il y en avait en Europe. Le Morus alba n'est pas indigène, ici comme je le disais il s'échappe de culture et devient sauvage mais (jusqu'à maintenant) c'est plutôt rare. En ce sens on ne peut pas dire qu'il est envahissant, il est trop lent... Peut-être qu'un jour on aura aussi des vers à soie!

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