Ce drôle de jeu, qui n’en est pas un, est une mathématique désirante: une subtile roue de fortune. Ce jeu d’origine française est joué partout dans le monde et ses règles semblent varier quelque peu. La plante pousse partout dans le monde et a été introduite par les colons en Amérique du Nord. C’est que son service est essentiel...
L'un après l’autre les pétales sont enlevés en récitant: "Il m’aime un peu, beaucoup, à la folie, passionnément, pas du tout", l’oeil de la jeune fille plongé sur l’oeil de la marguerite. Le dernier pétale donne la réponse. Quatre chances sur cinq que la réponse soit un sentiment amoureux favorable, ne serait-ce qu’un peu! La marguerite compte entre 13 et 34 (et plus) “pétales”. Les dés sont pipés et il semble bien que si le sentiment du jeune homme soit inconnu, celui de la jeune femme ne fait aucun doute...
Tic, tac, tic, tac...les rayons de la marguerite, s’envolant les uns après les autres. Compte à rebours d’une Ariane assurée.
En anglais (et dans presque toutes les autres langues) c’est une probabilité d’une chance sur deux: “He loves me, he loves me not”, "Mi ama, non mi ama". C’est radical et peut-être qu’un statisticien pourrait comparer les deux procédures probabilistes. Je parie qu’en présence du jeune homme le résultat serait le même...
Les russes en ont fait quelque chose de très amusant: “Il m’aime, il m’aime pas, il me crache dessus, il m’embrasse, il me prend dans ses bras, il m’envoie chez le diable”. C’est une variation du mode à deux temps avec une théâtralité burlesque, ludique et efficace.
La marguerite est une mauvaise herbe très utile...
L'un après l’autre les pétales sont enlevés en récitant: "Il m’aime un peu, beaucoup, à la folie, passionnément, pas du tout", l’oeil de la jeune fille plongé sur l’oeil de la marguerite. Le dernier pétale donne la réponse. Quatre chances sur cinq que la réponse soit un sentiment amoureux favorable, ne serait-ce qu’un peu! La marguerite compte entre 13 et 34 (et plus) “pétales”. Les dés sont pipés et il semble bien que si le sentiment du jeune homme soit inconnu, celui de la jeune femme ne fait aucun doute...
Tic, tac, tic, tac...les rayons de la marguerite, s’envolant les uns après les autres. Compte à rebours d’une Ariane assurée.
En anglais (et dans presque toutes les autres langues) c’est une probabilité d’une chance sur deux: “He loves me, he loves me not”, "Mi ama, non mi ama". C’est radical et peut-être qu’un statisticien pourrait comparer les deux procédures probabilistes. Je parie qu’en présence du jeune homme le résultat serait le même...
Les russes en ont fait quelque chose de très amusant: “Il m’aime, il m’aime pas, il me crache dessus, il m’embrasse, il me prend dans ses bras, il m’envoie chez le diable”. C’est une variation du mode à deux temps avec une théâtralité burlesque, ludique et efficace.
La marguerite est une mauvaise herbe très utile...
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