du vert volant
vue latérale de la sainte-machine (ou du sacré machin?)
qui a peur du jaune?
En tant que PDG du Consortium Flora Urbana et découvreur de l’attrape-plante nous sommes inondés de demandes et de requêtes de toutes sortes, provenant de tout l’univers Web. La curiosité de nos lecteurs est insatiable.
Ainsi pour satisfaire la demande de Marguerite Laplante, Robert Delherbe et Aster Desrosiers je fais une mise à jour de l’état de mon célébrissime attrape-plante.
Vous avez droit à ces vues d’ensemble du glorieux appareil, dont une primeur: une vue latérale avec, à l’arrière plan, l’attrape-plante de la ville, un abject compétiteur. Les fanatiques seront satisfaits.
“Qu’est-ce qui pousse dans votre attrape-plante?” Me demandait Hélène Raymond de La Semaine Verte. Malgré mon attention dévotionnelle pour la machine je dois dire que je m’attarde surtout à la contemplation de ce micro-paysage. Je fais donc un effort pour vous donner une idée de ce qui y pousse.
C’est un évident festival de jaune décliné en teintes familières. Les deux potentilles en taille de fleurir, artistiquement disposées au deux extrémités du bac, n’ont pas de fleurs ce matin. Mais nous avons droit à un échantillonnage assez représentatif des familles de plantes colonisatrices.
Dans l’ordre: les Brassicacées sont représentées par Erucastrum gallicum (moutarde des chiens, common dogmustrad, p.158), une nouveauté cette année, cadeau d’un oiseau. Il faudrait peut-être revoir son nom commun.
Au centre un des quelques individus de Sonchus asper (laiteron rude, spiny-leaf sow-thistle, p.131), l’espèce est arrivée en parachute il y a deux ans. L’étroitesse de l’espace les a miniaturisé, mais ils représentent avec fierté la famille des Astéracées.
À droite finalement la classique et prolifique Fabacée, Medicago lupulina (luzerne lupuline, black medick, p.201). On voit déjà ses gousses en spirale qui se forment. Matures elles seront noires, d’où le nom commun en anglais. Il faudrait ajouter le pictogramme “oiseau” dans mon livre!
Il pleut...alors je fais du balcon-ville...
Ainsi pour satisfaire la demande de Marguerite Laplante, Robert Delherbe et Aster Desrosiers je fais une mise à jour de l’état de mon célébrissime attrape-plante.
Vous avez droit à ces vues d’ensemble du glorieux appareil, dont une primeur: une vue latérale avec, à l’arrière plan, l’attrape-plante de la ville, un abject compétiteur. Les fanatiques seront satisfaits.
“Qu’est-ce qui pousse dans votre attrape-plante?” Me demandait Hélène Raymond de La Semaine Verte. Malgré mon attention dévotionnelle pour la machine je dois dire que je m’attarde surtout à la contemplation de ce micro-paysage. Je fais donc un effort pour vous donner une idée de ce qui y pousse.
C’est un évident festival de jaune décliné en teintes familières. Les deux potentilles en taille de fleurir, artistiquement disposées au deux extrémités du bac, n’ont pas de fleurs ce matin. Mais nous avons droit à un échantillonnage assez représentatif des familles de plantes colonisatrices.
Dans l’ordre: les Brassicacées sont représentées par Erucastrum gallicum (moutarde des chiens, common dogmustrad, p.158), une nouveauté cette année, cadeau d’un oiseau. Il faudrait peut-être revoir son nom commun.
Au centre un des quelques individus de Sonchus asper (laiteron rude, spiny-leaf sow-thistle, p.131), l’espèce est arrivée en parachute il y a deux ans. L’étroitesse de l’espace les a miniaturisé, mais ils représentent avec fierté la famille des Astéracées.
À droite finalement la classique et prolifique Fabacée, Medicago lupulina (luzerne lupuline, black medick, p.201). On voit déjà ses gousses en spirale qui se forment. Matures elles seront noires, d’où le nom commun en anglais. Il faudrait ajouter le pictogramme “oiseau” dans mon livre!
Il pleut...alors je fais du balcon-ville...
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