Une photo vaut mille maux...désolé pour les gens présents lors de la marche de dimanche. Mon extraordinaire présence d'esprit (?) vous a privé de ces plantes présentes...dans une ruelle à l'ouest du parcours que l'on a suivi...
Flora Urbana est l'étude de la flore spontanée, c'est-à-dire non cultivée. Certaines plantes s'échappent des jardins et deviennent alors sujet de documentation. Mais il y a des cas ambigus. À gauche: un coeur saignant (Dicentra spectabilis), son emplacement dans le béton d'une ruelle où on ne voit pas d'autres plantes cultivées me laissent perplexe. C'est la première fois que je la vois hors d'un jardin mais, d'autre part, qui aurait eu (la bonne) idée de la planter à cet endroit? Son statut "cultivée ou spontanée" est donc incertain pour l'instant.
Au centre du photomontage un myosotis. On trouve deux ou trois espèces de myosotis dans la flore urbaine: cette plante est donc incluse dans ma liste. Enfin à droite Urtica dioica (p. 277), l'ortie. Le statut de plante spontanée ne fait aucun doute non plus.
Et finalement voici une liste des plantes aperçues à la fin du parcours, dans le petit parc derrière l'église Saint-Jean-Baptiste:
liseron des haies (hedge false bindweed, Calystegia sepium, p. 183)
vélar fausse-giroflée (wormseed wallflower, Erysimum cheiranthoides, p. 159)
bourse-à-pasteur (shepherd’s purse, Capsella bursa-pastoris, p.156)
céraiste vulgaire? (mouse-ear chickweed?, Cerastium fontanum?, p.168)
vergerette de Philadelphie (Philadelphia fleabane, Erigeron philadelphicus, p.119)
grande chélidoine (greater celandine, Chelidonium majus, p. 236)
potentille sp. (cinquefoil sp., Potentilla sp., p.254-256)
Et, oui, les numéros renvoient aux pages dans mon livre.
Flora Urbana est l'étude de la flore spontanée, c'est-à-dire non cultivée. Certaines plantes s'échappent des jardins et deviennent alors sujet de documentation. Mais il y a des cas ambigus. À gauche: un coeur saignant (Dicentra spectabilis), son emplacement dans le béton d'une ruelle où on ne voit pas d'autres plantes cultivées me laissent perplexe. C'est la première fois que je la vois hors d'un jardin mais, d'autre part, qui aurait eu (la bonne) idée de la planter à cet endroit? Son statut "cultivée ou spontanée" est donc incertain pour l'instant.
Au centre du photomontage un myosotis. On trouve deux ou trois espèces de myosotis dans la flore urbaine: cette plante est donc incluse dans ma liste. Enfin à droite Urtica dioica (p. 277), l'ortie. Le statut de plante spontanée ne fait aucun doute non plus.
Et finalement voici une liste des plantes aperçues à la fin du parcours, dans le petit parc derrière l'église Saint-Jean-Baptiste:
liseron des haies (hedge false bindweed, Calystegia sepium, p. 183)
vélar fausse-giroflée (wormseed wallflower, Erysimum cheiranthoides, p. 159)
bourse-à-pasteur (shepherd’s purse, Capsella bursa-pastoris, p.156)
céraiste vulgaire? (mouse-ear chickweed?, Cerastium fontanum?, p.168)
vergerette de Philadelphie (Philadelphia fleabane, Erigeron philadelphicus, p.119)
grande chélidoine (greater celandine, Chelidonium majus, p. 236)
potentille sp. (cinquefoil sp., Potentilla sp., p.254-256)
Et, oui, les numéros renvoient aux pages dans mon livre.
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