Je visite souvent le coteau de la Caserne. Le terrain vague temporaire (le temps des travaux de réfection de l’intersection) a été rayé de la carte avec toute la biodiversité qui s’y trouvait. On a nivelé ici, ou fait de belles ondulations du sol avec la grosse machinerie, on a déroulé le beau tapis vert (le gazon en rouleau) et on a corrigé la situation en plantant des arbres et arbustes indigènes. Une topographie de rêve vert.
Les mauvaises herbes, surtout les inintéressantes que sont les étrangères, sont éradiquées. En fait, une flore spontanée n’est plus tolérable. De grands projets doivent avoir une place nette et une flore indigène, nationale.
Ainsi je documente les plantes qui ont été introduites par inadvertance lors de ces plantations “rectificatrices”. Les cuvettes de paillis au pied des arbres sont un habitat singulièrement riche en “introduction”. Ici c’est une petite jolie, la violette ou pensée des champs (Viola arvensis).
Les mauvaise herbes du coteau de la Caserne ont été remplacée par un autre assemblage d’espèces tout aussi mauvaises. Ah! les mauvaises pensées! Elles reviennent toujours nous hanter.
Le coteau avait perdu son nom (temporaire) que je lui avait donné. Il a perdu l’assemblage particulier d’espèces qui s’y était installées. Maintenant je me rends compte qu’il semble revivre, différent mais toujours aussi volontaire.
Les mauvaises herbes, surtout les inintéressantes que sont les étrangères, sont éradiquées. En fait, une flore spontanée n’est plus tolérable. De grands projets doivent avoir une place nette et une flore indigène, nationale.
Ainsi je documente les plantes qui ont été introduites par inadvertance lors de ces plantations “rectificatrices”. Les cuvettes de paillis au pied des arbres sont un habitat singulièrement riche en “introduction”. Ici c’est une petite jolie, la violette ou pensée des champs (Viola arvensis).
Les mauvaise herbes du coteau de la Caserne ont été remplacée par un autre assemblage d’espèces tout aussi mauvaises. Ah! les mauvaises pensées! Elles reviennent toujours nous hanter.
Le coteau avait perdu son nom (temporaire) que je lui avait donné. Il a perdu l’assemblage particulier d’espèces qui s’y était installées. Maintenant je me rends compte qu’il semble revivre, différent mais toujours aussi volontaire.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire