Certaines mauvaises herbes semblent jouir d’une tolérance bienveillante. L’amaranthe hybride, une plante commune, est jugée assez assez acceptable pour faire office de décoration devant l’entrée d’un antiquaire sur la rue Duluth à Montréal. Le commerce s’appelle Les Barricades Mystérieuses et, oui, c’est un mystère ou un miracle qu’elle puisse se répandre ainsi sans être inquiétée par le proprio ou les passants.
L’espèce est capable de former des colonies massives sur des terrains négligés mais c’est une vrai plante des trottoirs. C’est une autre apophyte (une plante indigène adaptée au milieu urbain) qui vient des habitats changeants des bords de rivière de toute l’Amérique du Nord. On la trouve aussi au Mexique et dans les Antilles, en Amérique Centrale et du Sud. Elle a été ensuite introduite dans les régions tropicales et tempérées de toute la planète. Une plante du Nouveau Monde qui est allé voir les “Vieux Continents”.
Elle était cultivée à des fins médicinales, alimentaires et fourragères par bien des peuples autochtones dans les Amériques. Aujourd’hui ces usages ont suivi la plante en Inde et en Afrique où elle est cultivée (avec d’autres espèces apparentées) pour la consommation des feuilles que l’on prépare comme des épinards. Les graines sont aussi consommées comme céréale.
L’espèce est très variable et la distinguer d’une autre espèce comme Amaranthus powellii ou A. retroflexus (elles-mêmes variables) est affaire de spécialiste. À moins d’une bonne loupe et de récolter les graines l’identification est incertaine!
L’espèce est capable de former des colonies massives sur des terrains négligés mais c’est une vrai plante des trottoirs. C’est une autre apophyte (une plante indigène adaptée au milieu urbain) qui vient des habitats changeants des bords de rivière de toute l’Amérique du Nord. On la trouve aussi au Mexique et dans les Antilles, en Amérique Centrale et du Sud. Elle a été ensuite introduite dans les régions tropicales et tempérées de toute la planète. Une plante du Nouveau Monde qui est allé voir les “Vieux Continents”.
Elle était cultivée à des fins médicinales, alimentaires et fourragères par bien des peuples autochtones dans les Amériques. Aujourd’hui ces usages ont suivi la plante en Inde et en Afrique où elle est cultivée (avec d’autres espèces apparentées) pour la consommation des feuilles que l’on prépare comme des épinards. Les graines sont aussi consommées comme céréale.
L’espèce est très variable et la distinguer d’une autre espèce comme Amaranthus powellii ou A. retroflexus (elles-mêmes variables) est affaire de spécialiste. À moins d’une bonne loupe et de récolter les graines l’identification est incertaine!
François Couperin lui a peut-être dédié cette musique bienveillante:
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